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Robot collaboratif et réduction de la pénibilité au travail

Première cause de pénibilité dans l'Industrie : Les TMS

En France, les troubles musculo-squelettiques représentent :

87

% des maladies professionnelles

30

% des arrêts de travail

2

mois d'arrêt en moyenne

22

Millions de journées de travail perdues

Plus de la moitié des TMS entraînent des séquelles lourdes avec des risques de désinsertion professionnelle.

Les conditions de travail : Première cause des TMS

En effet, les conditions de travail jouent un rôle prépondérant dans la création des TMS, qu’il s’agisse de mouvements de force, de postures extrêmes telles que :

  • Le travail statique
  • Les vibrations et chocs mécaniques
  • Les mouvements de torsion du poignet, du tronc, la flexion et l'extension du coude
  • La répétition fréquente du même geste qui fait appel aux mêmes groupes de muscles et d'articulations

Il y a également les contraintes psychosociales qui entrent en cause dans l’apparition des TMS.

Ces facteurs reposent sur la façon dont le travail est perçu par le ou les opérateurs comme :

  • La tension engendrée par les délais à respecter
  • L'insatisfaction d'un travail monotone

Conséquences sur l'activité et dépenses de l'entreprise

Les facteurs de type organisationnel comme le rythme de travail, le contenu du travail (tâche à faible valeur ajoutée) et les conditions d’exercice du geste professionnel (délai de réalisation trop court, temps de récupération insuffisant… ) ont des conséquences directes sur l’activité et les dépenses de l’entreprise.

Les absences répétées d’un opérateur ont des conséquences indirectes sur le collectif de travail :

  • Répartition de la charge de travail
  • Détérioration du climat social
  • Remplacements répétés pouvant eux-mêmes engendrer de nouveaux cas de TMS

mais également sur l’image de l’entreprise pouvant entraîner des difficultés à recruter.

Les douleurs musculaires, les tendinites, le syndrome du canal carpien, les lombalgies et bien d’autres, sont des TMS qui ont un impact direct et significatif sur la performance d’une entreprise.

Les TMS reconnus comme accident du travail ou maladie professionnelle ont une réelle incidence sur la hausse du taux de cotisation de l’entreprise.

À ce coût direct s’ajoutent toutes les dépenses liées au remplacement des salariés absents et à la baisse de productivité.

BIBUS France dispose d’une matrice permettant d’estimer les coûts directs, les coûts indirects et donc le ROI lors de la mise en place d’un robot collaboratif.

La valeur ajoutée d’un robot collaboratif réside dans le fait qu’il ne connaît aucune des contraintes physiques et psychosociales de l’humain : pas de risque de TMS et aucun risque d’absentéisme.

De plus, ajouter un robot collaboratif à votre chaîne de production vous permettra d’attribuer à votre opérateur une tâche à réelle valeur ajoutée où il se sentira valorisé et plus utile.

Le robot ne remplace pas l’humain, c’est une collaboration homme-machine qui est créée afin d’optimiser les capacités du robot collaboratif et de valoriser celle de l’humain.